Le Pic-épeiche
Bac-épèhhhe en patwès, « pic épeiche » en Français, « Buntspecht » en Allemand.
première apparition
La première apparition du Pic épeiche date du 12 mars 2013. Un mois de mars particulièrement froid et neigeux, un mois riche en oiseaux à la mangeoire d’Fofa. C’est un mâle. On le reconnait à son joli plumage. Est-il venu picorer à la mangeoire ? Je ne saurais le dire. Je ne l’ai vu qu’à l’extérieur, de l’autre côté du grillage. Et pourtant le site oiseaux.net dit que « Le Pic épeiche peut fréquenter assidument les postes de nourrissage. En calculant bien son coup, et à condition d’être dans un environnement favorable, on peut faire de belles observations depuis son salon » Pas moi !
Les jeunes sont nourris exclusivement de larves du bois. Le vieux cerisier, à moitié mort, est un excellant endroit pour nourrir et apprendre à manger au petit.
Le jeune de l’année a la calotte rouge, bordée de noir sur les côtés, le rouge plus étendu et plus vif. Le noir du plumage est terne, les taches blanches des épaules marquées de gris et le rouge sous la queue plus pâle.
le petit Tilleul
En 2020, la femelle fréquente assidument le petit Tilleul et la place. Je la vois presque tous les jours et entends son cri habituel. Un « pik » ou « tik » sonore et percutant accompagne son vol.
L’épeiche, comme tous les pics, est un oiseau solitaire et assez individualiste. Ce n’est que pour la reproduction au printemps qu’il ou elle recherche et tolère un partenaire, le temps de mener à bien une nichée unique (environ un mois). Ensuite chacun repart à sa solitude. Il ou elle n’ a aucune tendance à se regrouper avec d’autres.
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